Grandas de Salime

Quand une horde de pèlerins arrive sur un petit village de 850 habitants, un dimanche après midi, ça anime les rues et fait les affaires des cafés.

Les pèlerins y déambulent de cafés en cafés, de rencontres en rencontres. 

De mon côté, le soir, dans une petite Albergue privée, mais sans provisions, j'opte pour un Poulpo a la Gallega, spécialité du café d'à côté. Excellent. Mais pas question de prendre autre chose, ni un dessert tant le choix est limité dans ce café.

A l'albergue, je retrouve la Canadienne qui ne dit toujours presque rien, Nuria, la Barcelonnaise de Bodenaya et je fais la connaissance de José un très sympathique Espagnol de 70 ans environ, qui ne parle qu'Espagnol, beaucoup et vite. Il me donne pas mal de conseils sur le chemin, les réservations, l'arrivée à Santiago...

Ce matin, c'est la même noria de pèlerins dans les cafés ouverts pour les petits déjeuners.







0 Commentaire(s)

Vous pouvez me laisser un commentaire ici. Mais attendez-vous à ne pas recevoir de réponse. Le Chemin est l'occasion idéale de dé-connexion.