Bilbao, la ville

Que faire sur le Chemin quand on ne marche pas ? 
On marche !... pour visiter la ville  : 
- La Cathédrale Saint Jacques de Compostelle, je ne peux pas faire moins.
Selon le guide, c'est la plus grande du pays Basque. Mais elle est tellement enserrée dans les rues étroites qu'elle n'est visible ni depuis les hauteurs de Bilbao, ni même au plus près. Nous avons failli ne pas la voir. J'en profite pour faire tamponner ma crédenciale. 
- le marché de la rivière, Erriberako Merkatua. On y retrouve ce que j'aime dans les pays comme le Portugal et l'Espagne, ces grandes halles remplies de stand de nourriture. Il suffit de choisir chacun de ses plats à l'un ou l'autre de ces stands, puis on vient s'installer au milieu sur des tables communes. Lieu convivial par excellence. Là, il est trop tôt pour déjeuner. Dommage !
- le Guggenheim : quel magnifique écrin pour les oeuvres, que ce soit à l'extérieur comme à l'intérieur. Malheureusement, je trouve qu'elles sont trop peu nombreuses, d'autant plus que le 2nd étage est fermé pour accueillir de nouvelles expositions. On peut tout de même y admirer des oeuvres connues de Koons, Basquiat, Warhol, Louise Bourgeois, d'autres un peu moins de Lucio Fontana, Eduardo  Chilida ( le basque, le même qu'à Gernika), l'oeuvre monumentale de Richard Serra, et étonnamment quelques Zurbaran et Chardin.
J'en aurais bien repris un peu plus...
- Les rues et places de la vieille ville sont ce soir, bien plus animées et grouillantes que ce matin. Il faudrait bien plus de temps pour en découvrir les moindres recoins, secrets ou étrangetés comme cette boucherie dédiée au Jambon, ces bars à tapas où on peut manger debout dans la rue...























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